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Le stress et la peau

Peau et système nerveux sont liés depuis bien avant la naissance puisqu’ils se forment à partir du même tissu embryonnaire in utero. Ce qui explique qu’ils restent intimement liés tout au long de la vie, et qu’un lien évident se tisse entre notre état mental et nos éventuels problèmes de peau.

C’est pourquoi les effets du stress, les angoisses, les émotions et tout ce qui influe sur le système nerveux, peut aussi avoir un impact sur la peau, du simple rougissement momentané, jusqu’à certaines maladies de la peau, comme l’acné et le psoriasis.

De la parole aux manifestations cutanées, les effets du stress s’expriment et s’affichent sur la peau

• Un langage imagé « Être à fleur de peau » lorsqu’on est au bord d’éclater parce que les émotions, le stress nous submergent ; « être mal dans sa peau » quand l’état psychique est bouleversé, que l’être est en souffrance… Autant d’expressions imagées qui montrent à quel point l’état psychique, l’état nerveux et la peau sont en corrélation. Ces expressions révèlent à la fois à quel point la peau est le reflet de nos émotions et de notre état nerveux, à quel point elle montre au monde ce que nous ressentons au-dedans, mais aussi comment, d’un point de vue physiologique, cerveau et peau sont intimement connectés par le biais du système nerveux notamment.

• Des émotions qui se voient
La peau est l’organe qui se voit, qui nous montre et exprime, parfois à nos dépens, nos émotions, et toute forme de stress, positive ou négative. Il suffit parfois d'une peur, d’un stress ponctuel (entretien d’embauche, prise de parole importante, rendez-vous amoureux), pour que, soudainement, la peau réagisse – et nous trahisse - en rougissant, en blêmissant, en provoquant un excès de transpiration parfois. On parle pour ces rougeurs passagères, qui apparaissent sous le coup d’une émotion et disparaissent aussitôt, de « flush ».

La peau et le système nerveux, une relation étroite

Une même origine

Dans les trois premiers mois de la vie utérine, peau et système nerveux ne font qu’un. Ils se forment à partir de l’un des 3 tissus qui nous constituent alors : l’ectoderme. Ce qui explique qu’ils restent en relation étroite tout au long de la vie, communiquant non-stop. Mais la peau, contrairement à l’intestin, n’est pas un « deuxième cerveau », car elle n’abrite pas de neurones, mais un grand nombre de terminaisons nerveuses.

Le système neuro-immuno-cutané

Dans la peau, le système nerveux, contrôlé par le cerveau, module et influence toutes les fonctions cutanées : la capacité de réparation, de renouvellement cellulaire et de cicatrisation, la croissance pilaire, la production de sébum, la réaction aux UV et l’immunité cutanée. Les cellules de la peau possèdent en effet des récepteurs pour les neuromédiateurs, ces substances chimiques qui transportent l’information. On trouve une quarantaine de neuromédiateurs dans la peau : adrénaline, acétylcholine, GABA… Certaines hormones jouent aussi ce rôle de messagers, comme la mélatonine, les œstrogènes, le cortisol. Les relations entre peau, immunité et système nerveux sont si étroites que le Pr Laurent Misery, chef du service de dermatologie et directeur du laboratoire de neurosciences du CHRU de Brest a même développé le concept de « système neuro-immuno-cutané »

Le cortisol, une hormone clé

Comme le rappelle le Pr Misery, en français le mot stress désigne à la fois la cause (l’événement : deuil, entretien d’embauche, accident…), ses effets sur la personne et l’organisme, et la réponse à cette agression. Le stress peut être aigu ou chronique.
Or, quand on subit un stress, l’organisme répond avec une cascade de réactions qui activent à la fois des zones du cerveau (hypothalamus, hypophyse) et le système nerveux sympathique, entraînant la libération d’hormones et de neuromédiateurs. L’adrénaline, qui nous prépare à réagir en cas de danger, et le cortisol, considéré comme l’hormone du stress par excellence, sont les plus déterminants. Mais il y en a d’autres : l'ACTH (ou hormone corticotrope), l'ocytocine (hormone positive en réponse au stress) et la vasopressine. Adrénaline et cortisol permettent de passer en état d’hypervigilance, de faire parvenir au cerveau et aux muscles un surplus de nutriments et d’oxygène, afin qu’ils réagissent vivement (courir lors d’une attaque par exemple). Le cortisol notamment, qui en temps normal, régule glucides, lipides, protides, ions et eau dans notre corps, a pour rôle en cas de stress, de libérer une dose de glucose dans le sang pour booster le cœur, les poumons et les muscles. Quand le stress est aigu et passager, pas de souci, mais s’il devient chronique, il en résulte un niveau trop élevé de cortisol dans le sang qui entraîne troubles du sommeil, surpoids, troubles de la concentration… Sur la peau, les effets du stress engendrent plaques rouges, surproduction de sébum, inflammations cutanées…

Les effets du stress sur la beauté de la peau

Le stress nous fait passer en mode « survie » : l’organisme concentre ses ressources sur les organes vitaux et les muscles, au détriment du reste… et donc de la zone périphérique qu’est la peau. Quand le stress est ponctuel (courir après son bus, chercher son téléphone portable), pas de problème. Mais si le stress devient chronique, un mode de fonctionnement quotidien, parce qu’on a un enfant en bas âge, la pression au travail, un deuil ou une séparation… il atteint le bon fonctionnement de la peau, et ça finit par se voir.

La déshydratation

Une peau stressée se modifie, se fragilise. Elle est moins bien nourrie et irriguée, sa barrière cutanée est altérée. Le stress peut donc engendrer une déshydratation, avec même l’apparition de plaques, de rougeurs et de tiraillements.

Le manque d’éclat

L’adrénaline sécrétée lors de stress entraine des vasoconstrictions et l’ocytocine - normalement l’hormone de l’attachement mais aussi dopée en cas de stress pour améliorer la réaction - des vasodilatations. Résultat, les nutriments transportés par le sang ne sont plus distribués de façon homogène et optimale et le teint devient terne. Le manque d’éclat vient s’ajouter à la déshydratation.

Le stress oxydatif

Le système immunitaire réagit au stress en produisant des radicaux-libres afin de neutraliser d’éventuels agents pathogènes liés à une blessure, une infection. Par ailleurs, le cortisol induit aussi une production plus importante de radicaux libres. Cette surcharge en radicaux libre fait que le système de défense naturel anti-oxydant est dépassé. Résultat : le stress oxydatif s’installe et les cellules cutanées vieillissent avant l’heure.

Les rides prématurées

En plus d’aggraver le stress oxydatif, le cortisol altère le collagène, l’élastine et l’acide hyaluronique, indispensables à la fermeté et l’élasticité de la peau. Il entraîne donc accélération du vieillissement avec l’apparition précoce des rides, et une perte de tonicité de la peau qui se relâche. A cela s’ajoutent une contraction des muscles du visage, les traits sont tendus et les sourcils froncent. Ces effets du stress entraînent l’apparition de rides d’expression.

Les effets du stress sur la santé de la peau

Le stress n’est pas à l’origine de maladies de peau chroniques, dont les causes sont multifactorielles avec souvent un facteur génétique, mais il peut causer des poussées en tant que facteur déclenchant ou aggravant. Et comme ces pathologies cutanées, difficiles à vivre car elles sapent la confiance et l’estime de soi, engendrent-elles aussi du stress, on entre dans un cercle vicieux d’auto-entretient de la maladie.

Les démangeaisons, surtout nocturnes

Il existe une myriade de causes au prurit (médicaments, mycoses, eczéma…) mais il existe aussi un « prurit psychogène », lié directement à un stress sans autre cause possible avec une aggravation le soir et la nuit, et pendant les périodes d’inactivité et de repos. Ces démangeaisons peuvent être améliorées par une psychothérapie.

L’acné du stress et ses boutons

L’acné est lui aussi favorisé par le stress. En effet, le cortisol - encore lui - dope la production d’hormones androgènes, qui stimulent la production de sébum. Résultat : les pores se bouchent, la bactérie de l’acné (c.acnes) se développe à la surface de la peau et voilà boutons et comédons qui apparaissent. Et, comme pour d’autres pathologies cutanées, stress et acné s’autoalimentent, car le cortisol, qui intervient à nouveau, entretient l’inflammation et empêche une cicatrisation rapide. Le traitement : suivant la gradation, il va du peroxyde de benzoyle associé aux rétinoïdes localement, à l’isotrétinoïne per os.

Les poussées d’urticaires

Longtemps considérée comme une maladie psychosomatique, l’urticaire, caractérisée par une éruption, souvent prurigineuse, de papules, n’en est pas une. En revanche, le stress peut déclencher ou aggraver certaines poussées d’urticaire. Le traitement : les antihistaminiques, et dans certains cas, l’omalizumab, un anticorps monoclonal anti-IgE.

L’eczéma

Des études sur des personnes atteintes de dermatite atopique et soumises à un stress (après un tremblement de terre au Japon) ont montré une exacerbation de la pathologie dans le mois suivant chez près de 40% d’entre elles. Dans des cas de stress mineur, une poussée peut aussi intervenir dans les jours suivants. Ces patients seraient plus sensibles à l’adrénaline que la majorité. Et là encore, eczéma et stress sont un cercle vicieux, car l’eczéma, fortement handicapant, provoque du stress. Le traitement associe l’utilisation de corticoïdes locaux lors des crises et d’émollients.

Le psoriasis

Le psoriasis, qui provoque des plaques rouges et squameuses par emballement des kératinocytes, est l’exemple-même de la pathologie chronique aggravée par l’effet du stress. Car dans le cas du psoriasis, l’immunité et la surproduction de substance P, sont fortement impliquées, comme dans le stress. Et le stress est à l’origine de la plupart des poussées. Le traitement le plus efficace reste la photothérapie (UV).

La pelade

Les dermatologues constatent souvent que les pelades - perte de cheveux par plaques - surviennent après un stress : deuil, séparation, maladie... Elle est décrite comme une maladie auto-immune, car dans la pelade, les follicules pileux sont détruits par des mécanismes immunologiques (les lymphocytes). On prescrit en général des crèmes corticoïdes, qui calment l'inflammation et jouent un rôle immuno-supresseur.

L’herpès

On l’appelle aussi « bouton de fièvre ». Or, l’herpès apparaît en cas de stress physique (la fièvre) ou psychique (contrariété, forte pression…). Il se traite avec une molécule spécifique ( acyclovir)

La dermite séborrhéique

Parmi les multiples dermatoses favorisées par le stress, les dermatologues citent souvent aussi la dermite séborrhéique, marquée par des plaques blanches ou jaunâtres desquamantes sur la zone T du visage, le cuir chevelu et le thorax. Cette affection causée par la prolifération d'une levure commensale (malassezia) se nourrirait du sébum produit en excès par les glandes sébacées. Comme, en cas de stress, la production de sébum augmente, cette fameuse levure se développe. Les dermatologues prescrivent des antifongiques, associés dans certains cas à des corticoïdes.

Comment réduire les effets du stress sur la peau ?

Le trio cosmétiques, alimentation et relaxation reste la meilleure solution contre les effets du stress sur la peau.

Une routine cosmétique adaptée

Qu’il s’agisse de sécheresse et manque d’éclat, ou d’une vraie dermatose, encore une fois la routine adaptée commence par un nettoyage en bonne et due forme, avec un nettoyant doux, pour le visage et le corps, sans savon, avec des tensio-actifs non agressifs qui respectent le pH, le microbiote et le film hydrolipidique cutané, et une eau pas trop chaude (et des douches plutôt que des bains).

Dans la Gamme NACRE ÉCLAT de BLUE SKINCARE, nous vous conseillons de suivre en toute saison, la routine suivante :
1- Démaquiller et nettoyer le visage avec le Baume Métamorphose. Un vrai bonheur pour les peaux qui tiraillent, car c’est une huile gélifiée démaquillante ! Après le rinçage à l’eau claire, la peau est propre, douce et confortable. Pour celles qui préfèrent les textures plus aqueuses, l’Eau Micellaire Lactée ravira les peaux mixtes en recherche de plus de fraîcheur. Un nettoyant mi-lait mi-eau ultra concentré à utiliser en massage pour démaquiller et nettoyer sans effort.
2- Remettre le pH de la peau à l’équilibre avec l’Eau de Nacre Isotonique Dans la Gamme XERO NACRE de BLUE SKINCARE, pour prendre soin de votre corps, nous vous conseillons en complément de vos soins habituels d’utiliser :
L’Huile Lavante Relipidante pour nettoyer en douceur le corps. Enrichie en huiles végétales bio, sa texture onctueuse et enveloppante nettoie, nourrit et apaise les peaux les plus inconfortables sujettes aux démangeaisons.

Côté soin, on choisit des produits à la liste Inci (la liste d’ingrédients) courte, avec des actifs hydratants (acide hyaluronique, glycérine), anti-inflammatoires (niacinamide, panthénol) et anti-oxydants (Vitamine C, vitamine E, polyphénols). Et on s’enduit le corps d’émollients (produits hydratants). Tout ceci n’empêche pas la survenue de pathologies cutanées, mais permet de réduire déshydratation et vieillissement prématuré, et d’espacer les poussées.
Dans la Gamme NACRE ÉCLAT de BLUE SKINCARE, nous vous conseillons d’utiliser matin et soir : le Sérum Peau Neuve pour réhydrater durablement l’épiderme (hydratation 24h), puis la Crème Hydratante Régénérante pour nourrir, hydrater (hydratation 48h) et protéger la peau des agressions extérieures. Les soins BLUE SKINCARE sont riches en poudre de nacre NACR-45® (actif propriétaire de la marque) dont l’efficacité « bouclier » a été scientifiquement prouvée. Jour après jour, la barrière cutanée est restaurée. La peau est plus forte.

Un régime alimentaire contrôlé

Pour se booster ou au contraire se calmer, en cas de stress, on peut être tenté de multiplier les cafés, boire un verre d’alcool ou fumer une cigarette. C’est une erreur. On évite au contraire toutes les substances excitantes (alcool, café…) et les sodas, qui assèchent. Au contraire, on s’hydrate un maximum avec de l’eau. Et on adopte un régime riche en antioxydants (fruits et légumes rouges, jaunes, oranges, verts) et en acides gras (saumon, sardines).
En complément de votre routine beauté, nous vous conseillons d’intégrer le Complément Alimentaire Perfecteur de Peau de la gamme NACRE ÉCLAT de BLUE SKINCARE pour une peau éclatante et plus résistante. Ultra concentré en nacre active, il contient également un complexe de pré et probiotique pour rééquilibrer le microbiote intestinal, de l’acide hyaluronique pour maintenir l’hydratation et l’élasticité de la peau. Riche en vitamine C et en zinc, il est anti-oxydant et contribue à la formation normale du collagène pour une peau plus rebondie.

La relaxation pour gérer son stress

Dans ce monde anxiogène où tout va trop vite, et où le stress devient un mode de vie, il est essentiel de se ménager une à deux fois par semaine des temps de détente et de relaxation. Yoga, méditation, sophrologie, activité physique choisie sont le meilleur moyen pour réussir à mettre le stress à distance. On les inclut d’ailleurs de plus en plus dans le traitement des maladies chroniques, quelles qu’elles soient. Le massage peut aussi soulager stress.
Une consultation chez un psychiatre ou un psychologue – en complément à celle d’un dermatologue - peut également aider à comprendre l’origine du stress. Il existe même une discipline médicale traitant des relations entre dermatologie et psychiatrie : la psycho-dermatologie. L’objectif est de traiter les affections de la peau avec une approche psychosomatique.

FAQ

Comment le stress agresse la peau ?

Le stress a une forte influence sur la peau par le biais du système nerveux sympathique et ses neuromédiateurs (adrénaline, noradrénaline), d’hormones déclenchées par le stress (cortisol, ocytocine), et du système immunitaire débordé par le stress.

Quels sont les effets du stress sur la peau ?

Un stress ponctuel peut provoquer une montée de rougeurs (un flush), un blêmissement, voire une sudation excessive. Un stress chronique - de longue durée – entraîne une fragilisation de la barrière cutanée et un stress oxydatif, notamment en raison de la production de l’hormone du stress (cortisol), ce qui provoque déshydratation, perte d’éclat, vieillissement prématuré et poussée d’acné. Enfin, un stress aigu peut provoquer et aggraver des poussées dans le cas d’une vraie dermatose, qu’il s’agisse du psoriasis, de la dermatite atopique, de l’herpès ou de la pelade.

Est-ce que le stress peut causer des démangeaisons ?

Qu’il s’agisse d’un « prurit psychogène », d’eczéma, d’urticaire, ou de dermite séborrhéique, nombre de poussées de dermatoses avec démangeaisons sont liées au stress. Car le stress entretient l’inflammation, mais aussi la déshydratation et la sécheresse cutanées, qui elles aussi peuvent causer des démangeaisons.